Focus sur le RSSI, chef d’orchestre de la sécurité des systèmes d’information
Pour mettre toujours plus l’accent sur la protection de ses plateformes, Édifice a renforcé ses équipes. Bienvenue à Donald Koffi, notre tout nouveau responsable sécurité des systèmes d’information (RSSI), garant de la politique sécurité de l’entreprise !
Lorsqu’on l’interroge sur son rôle de responsable sécurité des systèmes d’information (RSSI), Donald Koffi lance, comme il sait si bien le faire, une métaphore : “Je suis le chef d’orchestre qui s’assure que tous les instruments qui composent l’orchestre Édifice — les plateformes, les données, les utilisateurs, etc. — jouent en harmonie et sans fausse note !”
Car c’est toujours de manière imagée et poétique que le nouveau “Monsieur Sécurité” d’Édifice partage son savoir. Son rôle est central pour garantir la sûreté de l’entreprise, des plateformes et des données des utilisateurs, mais il sait transmettre les consignes et les conseils avec une touche de lyrisme, y compris lorsqu’il distille ses astuces aux élèves pour bien choisir leurs mots de passe.
Qu’est-ce qu’un responsable sécurité des systèmes d’information ?
Le rôle du responsable sécurité des systèmes d’information (RSSI) est de concevoir et de déployer une stratégie de sécurité de l’information dans son entreprise. À l’échelle d’Édifice, il est le garant de la politique de sécurité sur les ENT : il effectue une veille technologique des nouveaux risques pouvant impacter les plateformes et s’assure de les protéger de toute éventuelle faille ou attaque.
Le RSSI accompagne les utilisateurs, qu’ils soient enseignants, parents ou élèves, dans une utilisation sûre du numérique. Mais il dirige aussi les actions de sécurité au sein même de l’entreprise, en encadrant ses collègues dans leurs usages d’Internet et dans la protection des données. “Tous les musiciens n’ont pas les mêmes besoins, en fonction de l’instrument dont ils jouent, il faut donc adapter le discours à l’auditoire”, raconte Donald Koffi en filant la métaphore.
Le RSSI anticipe les fausses notes et forme les musiciens
Pour “anticiper les fausses notes et éviter qu’elles ne gâchent la symphonie”, notre chef d’orchestre de la sécurité accorde, non pas les instruments, mais les composants techniques (mises à jour, configurations, tests de sécurité) et surveille les couacs (tentatives d’attaques ou failles). Et si une corde casse pendant le concert ? “Mon rôle est aussi de m’assurer que nous avons des solutions de secours pour continuer à jouer, même face à une attaque”, rassure Donald Koffi.
Pour un récital en toute harmonie, notre RSSI, membre du CESIN (Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique), une communauté de référence en matière de cybersécurité en France, joue les virtuoses. En 2025, il prépare le parcours de qualification à la certification SecNumCloud d’Édifice, un référentiel garantissant un haut niveau d’exigence technique, opérationnelle et de conformité. L’objectif ? “Que la musique de l’éducation numérique joue sans bruit parasite, et sans intrusion d’un mauvais musicien !”, conclut-il.
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